Correspondance sentimentale


Correspondance sentimentale : Ma douce amie

Ma douce amie,


Comme il me tardait de pouvoir te lire, mais j'ai dû m'absenter quelques jours ces derniers temps.
Aussi, je n'ai cessé de penser à toi, à nous, et la lecture de ta dernière lettre, a transporté mon cœur tout auprès du tien, dans l'ivresse de cet amour partagé, qui nous unit tant.
Il n'est pas un rêve, où je ne te vois, ni une pensée qui ne soit pour toi, ni un endroit, où je ne sente ta présence.
Tu es partout, tout le temps auprès de moi et l'air que je respire est empli de l'odeur de ton corps.
C'est par delà les nues, dans ce divin éden, qu'enivrés par ce brûlant désir, nos deux corps s'étreignent dans un amour enflammé.
Tes baisers sont comme un fruit que l'on cueille tendrement. Ils ont le goût de la passion et une délicate saveur exquise.
Tout ton corps s'anime, et s'offre ainsi en s'abandonnant à mes caresses, au plaisir, et à l'amour.
Ma chérie, tu n'as pas à rougir de tes pensées, car tu le sais bien, nous espérons tant, tous les deux, que bientôt elles seront une réalité.
Je te promets, que cette petite clé que tu m'as fait parvenir, le jour où enfin nous serons ensemble, je te la rendrais, car ton cœur n'aura plus jamais besoin de serrure !

Je t'embrasse passionnément, et attends avec impatience de te lire.
Je t'aime infiniment.

 

Paul Stendhal


03/03/2012
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Correspondance sentimentale : Ma tendre chérie

Ma tendre chérie,


Combien de fois je t'ai rêvée, aimée, et enlacée dans mes bras ?
Tant de fois que je ne peux plus les compter !
Quand, allons-nous enfin nous retrouver ?
Tous les deux, nous l'espérons tellement !
Tes mots sont un vrai sourire, à eux seuls.
J'ai une telle envie de nous, que je nous vois tous les deux, nus, nos deux corps s'étreignant dans la chaleur de notre amour, ton corps exhalant le parfum de la passion, et nos désirs, nous transportant si loin, unis ensemble !
Pardonne-moi, mon bel amour, de t'écrire aussi sincèrement, mais je sais, que tu espérais que je le fasse !
Quand tu liras ma lettre, mon coeur sera à tes côtés, et bientôt, je le souhaite, c'est dans les bras l'un de l'autre que nous pourrons nous caresser.
Mon tendre amour, je suis impatient de te lire.
Je t'envoie mille baisers de tendresse, en attendant de nous voir.
Je t'aime passionnément.

 

Paul Stendhal


03/03/2012
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Correspondance sentimentale : Ma belle amie

Ma belle amie,

 

Ô comme je suis heureux, d'avoir pu lire ta lettre ce matin ! Tes mots illuminent ma journée, et rayonnent une douce et agréable chaleur sur ma vie.
Tu as toujours été proche de mon cœur, même le temps de ton absence, et je n'ai jamais cessé de penser à toi.
Ô que oui, tu m'as manqué, mais maintenant, nous allons à nouveau, comme à l'accoutumée, pouvoir nous retrouver ensemble, près de notre saule, et combien cela me réjouit !
Chaque soir, durant ce temps, je nous servais le thé, celui que tu aimes, mais dans notre petit salon, où nous le partagions, j'étais bien seul.
Pendant ces longs moments, quand la Lune moirée irisait d'une pâle lumière diaphane, j'ai sans fin, lu et relu tes poèmes et tes galants écrits, imaginant ton beau visage sourire, et entendant ta claire voix, résonner comme une aria, dans une charmante mélodie.
Quand pourrons-nous encore nous endormir dans les bras l'un de l'autre, et ensemble passer une nuit délicieuse emplie de tendresse et de volupté ?
Il m'en tarde !
J'attends avec impatience ta prochaine missive, et mon cœur t'envoie mille baisers sur des ailes d'ange !

 

Je t'embrasse tendrement.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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Correspondance sentimentale : Ma si tendre amie

Ma si tendre amie,

 

Que tes mots sont doux à lire et sourient au poète, ce matin, au soleil levant, à l'aube de ce nouveau jour ! Ils embaument mon cœur, d'un agréable parfum, aux senteurs d'un affectueux bonheur. Par ces vers, me voilà enchanté, et, sache que ma pensée n'a cessé de t'accompagner, durant ton voyage au pays des cigales, de la garrigue, de la vigne, des oliviers, de la mer et du soleil.
Ton absence fut douloureuse, mais le souvenir de tous ces moments merveilleux, passés ensemble, a apaisé ces longs instants, dans l'attente de ton retour.
Qu'elle fut si exquise et magique, cette dernière soirée en tête-à-tête !
Au pied d'un saule blanc, nous nous sommes retrouvés. Les derniers éclats du soleil, traversant le vert feuillage et venant se poser sur nous, rayonnaient notre joie. Le chant des oiseaux autour de nous, a composé une bien belle mélodie, qui a bercé nos cœurs enlacés, et la nature charmée, en silence s'est inclinée, pour écouter notre allégresse.
Ô combien, ce jardin est celui de nos délices !
Puis ce merveilleux repas, que nous avons eu tous les deux, avait le grisant goût du partage, et les chandeliers illuminant d'une douce clarté notre table et nos visages, ont animé tant de lueurs dans nos regards, que nos yeux pétillaient de mille étincelles.
Une valse de mots attendrissants, a transporté nos âmes, par delà les confins des sphères étoilées, nous portant sur des ailes d'ange, au bord d'une si belle nuit, où la Lune a brillé, et la muse, dans les bras de son amant, s'est endormie, confiante et heureuse. Le souvenir de ce divin temps, restera toujours gravé, dans le cœur d'une belle éternité.
Ô toi, mon amie, comme ce soir, il me tarde, de te retrouver, et voir nos doux souris, qui éblouissent et ravissent nos vies !

 

Je t'embrasse tendrement.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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Correspondance sentimentale : Ma tendre aimée

Ma tendre aimée,


Ô toi, ma si belle amie, comme tu me manques, comme
Une muse, qui sait la solitude d'un homme.
Je rêve d'étreindre dans mes bras enlacés,
Le souvenir de ces mots de nos nuits passées,
Ce corps divin, si beau et si voluptueux,
Que forment nos poèmes, par les ondes, transportés.
Qu'il m'est bien doux d'aimer dans toute sa beauté,
Cette poésie que j'appelle tant de mes vœux,
D'un amour effréné, ô combien espéré.
Resplendissante Lune, au cours de mes soirées,
Dis-moi quand bientôt je pourrais te voir, ô toi,
Que j'attends, avec tant de désirs dans l'émoi,
Que je chéris tendrement d'une vraie passion.
C'est à toi que je voue toute mon adoration.
Ô vraiment, je t'aime, d'un pur amour enchanteur.
Nymphe de mes nuits, tu choies mon coeur de bonheur.

 

Tendres baisers.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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Correspondance sentimentale : Mon tendre amour

Mon tendre amour,

 

Ô combien tu me manques ! Je n'osais l'imaginer, mais ces instants sans toi sont si durs à vivre seul, dans cette attente épouvantable, où le coeur à l'âme s'allie, et pleure de ce moment de tristesse, comme dans une gare, au bout d'un vieux quai, assis sur un banc qui a connu tant de solitudes s'épancher. Je te vois, belle, radieuse, le regard souriant et les yeux scintillants, les lèvres absentes, dans un divin sourire, baigné par l'éclatante blancheur d'un émail immaculé. Ton alezane chevelure, dessine ton doux visage, et caresse tendrement la virginale pâleur de tes épaules nues. Ta douce et belle voix, résonne d'une lyrique mélodie enchanteresse, et berce mon cœur d'un air câlin. Ô combien tu me manques ! Il n'y a pas déjà un jour, et il en reste encore tant ! Jamais, je n'aurais imaginé une telle douleur. Chaque soir, je nous sers un thé, celui que tu aimes, à la douce saveur de jasmin, et à l'aube du jour ce matin, une tasse était encore pleine. Sur le carreau de la fenêtre ouverte, il n'y avait pas de silhouette, mais au soir de ce matin éternel, la Lune est apparue divine, veillant avec bonheur, sur notre amour naissant ! Depuis ce soir, le poète peut librement dire à sa muse : "Je t'aime". Dans mon petit salon, toutes mes pensées s'envolent, pour te rejoindre, et te dire mes transports. Belle muse, sans la douceur de ta présence, ma vie s'étiole dans une pathétique langueur. Dans les poèmes que tu peins sur la toile, mon âme s'épanouit, et dans l'espoir de bientôt te revoir, mon cœur est ravi. Je t'offre ce bouquet de mots aux mille couleurs, et au parfum d'éternité, pour simplement te dire ô combien, belle sylphide, à tes côtés, ensemble, je rêve notre vie.

Je t'embrasse tendrement, toi, ma douce amie.

 

Ton poète et preux chevalier.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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Correspondance sentimentale : Bonne nuit à toi, ô ma bien-aimée

Bonne nuit à toi, ô ma bien-aimée,

 

Le souvenir de cette nuit passée ensemble, de mercredi à jeudi, jamais ne s'effacera ! Comme il fut tendre ce moment, où trois mots, ont illuminé notre vie. Ils ne m'ont plus quitté, et blottis tout contre mon coeur, ils résonnent tant d'un vrai bonheur. Ce soir, tu n'es pas là, au carreau de l'écran, mais ô combien je ressens ta présence. Deux petits croquis, dessinés à la sauvette, me font rêver de tous ces instants idylliques vécus ensemble. Ce soir en entendant le joli son de ta voix, mon sang n'a fait qu'un tour et mon coeur s'est emballé. Ô comme ce soir, tu me manques ! Mais je te sais plus proche, et quand je regarde le firmament, où brillent tant d'étoiles, mon âme vogue parmi elles aux confins des sphères lumineuses, et c'est là que je nous retrouve dans un amour épanoui. Tu souris, et tes yeux scintillent de mille flammèches de bonheur. Oui, qu'il est bon d'être à tes côtés, tendrement enlacés ! Au pied du grand saule, je pense à toi, je pense à nous, et mes sentiments tout de blanc vêtus, te caressent infiniment, pour simplement te dire "je t'aime". Je t'ai tant attendue, je t'ai tant espérée, et ce matin, à l'aube du jour, tu es venue, et tu t'es confiée d'un coeur sincère. Cybèle et sylphide, tu es ma muse et ma nymphe des nuits du temps. Sur les sentiers de la vie, côte à côte, et main dans la main, deux silhouettes se promènent et sont heureuses, et c'est ensemble qu'elles cheminent pour ce beau et long voyage.
Ô toi ma douce, cette nuit tu es plus près de moi encore, et c'est proche de toi que je veux être, pour toujours.

Je t'embrasse tendrement, ô ma bien-aimée.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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Correspondance sentimentale : Bonjour ma mie

Bonjour ma mie,

 

En ce samedi matin je viens te dire le bonjour ! Malgré une nuit écourtée, j'espère que tu as pu trouver un sommeil réparateur. Ce matin, le poète est soucieux de ne pas apercevoir sa muse, sur la vitre du temps présent. Peut-être dort-elle encore, ou sous la fine pluie d'une douche matinale, se détend elle? Au comptoir du samedi, il est seul accoudé ! Il prend un thé et regarde par la fenêtre que le jour a polie. Comme encore endormi, au travers d'une épaisse couche de nuages, les rayons du soleil, font de bien timides apparitions. Ce matin, un oiseau ne gazouille pas encore, mais la chanson est celle des cigales qui résonnent bon la Provence. La fenêtre est ouverte, et le café est encore chaud, mais le carreau reste muet, et le canapé attend toujours sa muse ! Au bord d'un matin calme, le poète esseulé, rassemble quelques lettres, forme quelques mots, et les y dépose. Un léger vent marin les emportera, et portés par le temps, sur le coin d'un écran, ils iront se déposer. Dans l'espoir d'un sourire de sa muse, c'est au comptoir de l'attente, que la poète retourne, pour y déguster un de ces fameux thés, aux parfums de jasmin. Ce matin, il est venu comme chaque matin pour saluer la nymphe, mais ce matin elle est absente.
Les aiguilles ont tourné, et bientôt il va devoir s'en aller. Alors, par la pensée, il lui sourit, et accroche un tendre baiser au bord de son âme.

 

Paul Stendhal


02/03/2012
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