Poème : La douleur du poète

La douleur du poète


Ma belle muse, entends-tu les iniquités ?
Ces badauds, n'ont plus aucun sens de l'équité !
Mon cœur se trouve tellement en grande peine,
Mais, de notre amour, ils n'auront jamais la veine.

 

Tous ces cannibales, avides de jugements,
N'ont jamais prêté dans leur vie, de vrais serments.
Ils sont des alligators et des caïmans,
Décidés à manger la chair, si fraîchement.

 

Mais, nous nous aimons d'un amour tant partagé,
Qu'en aucun jour, personne, ne saurait outrager.
Dans cette destinée, seuls à voir le chemin,

 

L'un avec l'autre, nous marcherons, main dans la main,
Partageant les émotions et les sentiments,
De nos cœurs si ravis, de cet enchantement.

 

Paul Stendhal



21/02/2012
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